La proposition et l'Inférence |
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Inférence et école de Mégare (Stoïciens : Euclide de Mégare, Eubulide, Philon le Mégarite, Diodoré Chronos, Euclide,...) - l'inférence et la proposition, origine de la logique moderne - forme de l'inférence - les diverses formes de l'inférence dans la logique stoïcienne (contraposition, modus ponens, modus tollens, le syllogisme disjonctif de la première forme, le syllogisme disjonctif de la deuxième forme, le syllogisme disjonctif de la troisième forme). -Les problèmes de l'énoncé conditionnel ou implication. |
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L'inférence est un mouvement de la pensée allant des principes (des idées) vers la conclusion. | |
Pour les stoïciens le raisonnement porte sur la proposition, alors qu'Aristote analyse la propostion. La logique moderne trouve son origine dans ces inférences formalisées. |
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Si j'ai faim, alors je mange, Je suis fou, alors je me soigne, |
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La formalisation est : Si A, alors B, |
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Pour la Stoa, Les lettres A, B, ..marquent ici la place des propositions, alors que pour le Lyçée, elles marquaient la place des termes ou des concepts. Non-A, non-B, désignent une proposition négative et non pas des concepts négatifs. |
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Formes de l'inférence dans la logique stoïcienne. La contraposition : Le modus ponens ( modus ponendo ponens, de ponens praticipe présent du verbe latin ponere : poser. Détachement ou implication ) : Si je pense je suis, Le modus tollens : Si A alors B Si la psychanalyse réussit, alors elle disparaitra, Le modus tollens combine la contraposition et le modus pollens : Le syllogisme disjonctif de la première forme : non-(A et B) Le syllogisme disjonctif de la deuxième forme : A ou B Le syllogisme disjonctif de la troisième forme : A ou B |
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Interprétations et problèmes de l'énoncé conditionnel ou implication : | |